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10 conseils pour courir quand il fait chaud

Eh oui, c’est l’été, et l’été, il fait chaud… il faut aussi chaud si tu cours nos parcours à Miami (tu as vu le petit clip sur le run à Miami ?) ou Séville par exem­ple… quelle que soit la saison…

Que faire pour courir au mieux quand il fait chaud, quelles sont les règles à respec­ter pour ne pas se flin­guer la santé…

 

Car outre la chaleur, courir, notam­ment en ville, quand l’air est lourd implique de courir presque dans la couche d’ozone. L’ozone est sympa, quand il est dans les masses d’air élevées, il nous protège du rayon­ne­ment UV. Mais quand il est proche du sol, il est moins sympa, il peut être irri­tant, provoquer des larmoie­ments, des maux de tête, ou des problèmes respi­ra­toires en cas d’ef­forts inten­ses…

Mais du calme, on peut conti­nuer à s’en­traî­ner, la pratique régu­lière d’un sport d’en­du­rance restant bien­fai­trice malgré la gêne occa­sion­née par la pollu­tion de l’air.

Il suffit de respec­ter quelques règles :

  1. S’en­traî­ner tôt le matin : il fait plus frais, mais il y a aussi moins d’ozone dans l’air. Mais bon, souvent c’est les vacances et certains aiment les grasses mat’… tant pis pour eux…
  2. Eviter les axes où le trafic est impor­tant (genre le périph, mais en même temps, qui va y courir…)
  3. Privi­lé­gier les forêts et les parcs : pour l’ombre bien sûr, mais aussi parce que l’or­ga­nisme y est moins agressé par les polluants (urbi­run te propose des parcours dans les plus beaux parcs)
  4. Réduire le rythme : on y va pas à fond… ok ?
  5. Se refroi­dir : même avant de partir, il est utile de rafraî­chir ses vête­ments, sa casquette ou autre, et perso je m’as­perge et trempe ma casquette à chaque point d’eau que je croise
  6. S’hy­dra­ter : comme toujours d’ailleurs… et même avant de partir, et surtout ne jamais attendre d’avoir soif, donc boire un peu toutes les 15 minutes (2–3 gorgées). Les bois­sons d’hy­dra­ta­tion permettent de récu­pé­rer aussi les sels miné­raux que l’on perd en bien plus grande quan­tité quand il fait chaud, et en manquer est tout aussi dange­reux que d’être déshy­draté. Donc c’est un arrêt pour 2 gorgées à chaque fontaine… Sauf la Fontaine de Trevi pendant urbi­run Rome ou le Manne­ken­pis sur urbi­run Bruxelles
  7. Bien s’équi­per : maté­riel tech­nique qui ne reste pas détrempé trop long­temps, et ne s’alour­dit pas, et évidem­ment casquette et lunettes, et crème solaire que j’avoue négli­ger bien trop souvent
  8. Passer à l’entraî­ne­ment croisé : le vélo, et profi­ter de la vitesse de l’air pour garder une tempé­ra­ture corpo­relle accep­table, et évidem­ment la nata­tion… quitte à finir trempé, pourquoi ne pas commen­cer direct…
  9. Passer en mode vacances  : tran­sat et apéro, plutôt que baskets et gel d’ef­fort… ça fait pas de mal non plus les vacan­ces… et je suis sûr que toi comme moi, on l’ou­blie trop souvent, mais le repos fait partie de l’en­traî­ne­ment…
  10. Et évidem­ment privi­lé­gier les parcours urbi­run les plus au nord… par exemple Helsinki, Vilnius, Stock­holm, Saint-Peter­bourg, Edin­bourg, ou Copen­hague (tu as vu le clip sur le run à Copen­hague ?)

 

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